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- Fontaines du rond-point des Champs-Elysées : questions sur le choix du projet
J’ai interrogé Mme Hidalgo en Conseil de Paris sur le choix du projet des nouvelles fontaines du rond-point des Champs-Elysées pour connaître le processus de prise de décision, les projets alternatifs et les critères de sélection. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention. Intervention Fontaine du Rond-Point des Champs-Elysées 2019 DAJ 4 DAC Madame le maire, Les fontaines du Rond-Point des Champs-Elysées ont été réalisées par Alphand au XIXème siècle dans le cadre d’un projet global d’aménagement des Champs-Elysées. L’élément décoratif de ces fontaines est alors une gerbe de roseaux en fonte au centre de laquelle jaillissent les jeux d’eaux. De 1932 à 1958, le décor central est remplacé par un décor en verre réalisé par Lalique. Ce décor est très vite endommagé et démonté en 1958. C’est Max Ingrand qui réalise le décor verrier en place jusqu’en 1998. Détériorés alors par les supporters de la coupe du monde, les corolles d’Ingrand sont alors démontées et les fontaines mises hors d’eau étant donné la vétusté des installations. Des talus plantés de fleurs sont alors créés à l’arrière pour pallier à l’absence d’eau. 20 ans donc que ces fontaines attendaient de reprendre vie et l’initiative du Fond pour Paris de financer leur restauration pour 6 millions d’euros ne pouvait que susciter l’enthousiasme. Quelques questions se posent néanmoins sur le choix du projet retenu au-delà de l’esthétisme des Fontaines qui a suscité de nombreuses réactions. Il faut dire que celui-ci est bien loin des fontaines d’origine car la restauration initialement évoquée s’est transformé en une création très contemporaine. La première question est le processus de sélection du projet. En effet, lors de la réunion de présentation de celui-ci par les frères Bouroullec devant la commission des sites, l’architecte des bâtiments de France, madame Combin, expliquait, je cite « qu’elle n’a pas été associée, pas plus que l’inspecteur des sites, au choix du projet parmi les 5 candidats. Qu’elle l’a découvert à l’automne 2017 lors d’une réunion à l’Hôtel de ville » Fin de citation. Les élus de l’arrondissement concerné n’ont pas participé eux non plus à la sélection. Pas plus que les élus membre du conseil d’administration du fonds pour Paris ou des habitants. Qui a donc décidé du projet ? Quels sont les 4 autres projets envisagés ? Quels étaient les critères de sélection ? Quelles garanties avons-nous quant à la durabilité des Fontaines ? Toutes ces questions restent sans réponse. Or, les Fontaines du Rond-Point s’inscrivent dans l’ensemble cohérent et harmonieux des Champs-Elysées qui demande à être respecté sous peine de casser cet esthétisme que les touristes du monde entier viennent admirer. Le financement de la restauration du patrimoine parisien par des fonds privés est une excellente nouvelle car nous savons tous combien la ville et l’Etat n’ont plus les moyens de l’assurer seuls. Mais, les financements privés permettent-ils tout ? Ce bien commun que constitue notre patrimoine et l’importance de sa transmission doivent rester notre unique souci. Il est donc essentiel que nous ayons des garde-fou. Quels étaient-ils dans le cas de la restauration des fontaines ? Tous ces questionnements madame le Maire sont essentiels car si notre politique culturelle tend de plus en plus à être soutenue par le privé elle doit absolument continuer à émaner des pouvoirs publics. Merci
- Le 8ème fait définitivement l'impasse sur la concertation pour la restructuration du réseau de bus
Ile-de-France Mobilités (ex-STIF), la Régie autonome des transports parisiens (RATP) et la Ville de Paris ont décidé en 2015 de réorganiser le réseau de bus existant. Celui-ci a en effet peu évolué depuis les années 1950, alors que la demande de mobilité et l’offre de transports ont beaucoup évolué. L’objectif du projet de restructuration du réseau était de mieux l’adapter à la demande et de le rendre plus lisible en diminuant les lignes en superposition, en améliorant les correspondances entre bus, en supprimant les points noirs en termes de circulation, en augmentant la régularité et la capacité des bus. Dès 2016, le STIF, la RATP et la Ville de PARIS avaient encouragé les arrondissements à organiser des réunions de concertation pour recueillir les observations et suggestions des habitants et des acteurs locaux sur les projets de restructuration, puis essayer de les faire valoir pour éventuellement amender les projets. La plupart des maires des arrondissements ont organisé une ou plusieurs réunions. Il était évident que le 8ème arrondissement serait tout particulièrement concerné par la restructuration puisqu'il est historiquement traversé par un nombre important de lignes de bus, notamment les n° 32, 43, 83, 93 et 94. Pour autant, aucune réunion de concertation n’y a été organisée. En janvier puis mars 2018, ma collègue Eve Desbonnets et moi sommes intervenues en Conseil d’arrondissement pour demander l’organisation d’une réunion d’information des administrés du 8ème. En l’absence d’avancée et avec d’autres élus, nous avons réitéré notre demande lors du Conseil d’arrondissement de janvier 2019. Le principe d’une telle réunion avait été alors accepté. Mais depuis, rien. Le nouveau réseau de bus parisien sera lancé le 20 avril prochain. Nous déplorons une nouvelle fois vivement que les habitants et les acteurs du 8ème n’aient jamais été concertés, ni même informés, du projet de restructuration des lignes de bus impactant très directement notre arrondissement et la vie de ses usagers. Nous sommes en 2019. Tous les élus sont convaincus de l’utilité de la démocratie de proximité. Tous ? Non ! Car un arrondissement administré par d’irréductibles élus résiste manifestement encore et toujours aux bienfaits de la concertation ...
- Unanimité du Conseil de Paris pour nommer une voie du 8ème en l’honneur du peintre Chassériau
Après l’avoir défendu et fait adopter une première fois en mars en Conseil du 8ème arrondissement, j’ai défendu et fait adopter à l’unanimité du Conseil de Paris un vœu pour que la Ville de Paris nomme une voie publique du 8ème arrondissement en l’honneur du peintre Théodore Chassériau. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention. Madame le Maire, Mes chers collègues, Tous ceux qui ont eu l’occasion de rentrer dans l’église Saint-Philippe du Roule n’ont pu qu’être saisi par la beauté de la monumentale fresque de 15 m de long représentant une descente de la Croix peinte au plafond de l’abside de l’église, par le peintre Théodore Chassériau entre 1852 et 1855. Théodore Chassériau est l’un des principaux peintres français (1819-1856) du mouvement romantique et orientaliste, élève de Jean-Auguste-Dominique Ingres, son professeur à l'École des beaux-arts de Paris de 1830 à 1834, qui lui prédit qu'il sera « le Napoléon » de la peinture. Il est considéré comme le plus jeune peintre exposé au Louvre et fut le maître de Gustave Moreau et de Pierre Puvis de Chavannes. Peintre d’exception, 5 de ses toiles sont exposées dans la collection permanente du Petit Palais après la grande rétrospective de son œuvre au Grand Palais en 2002. La fresque de Saint-Philippe du Roule a été la dernière œuvre de Théodore Chassériau pour laquelle il a mis toute son énergie. Il est mort peu de temps après son achèvement, en 1859 à l’âge de 37 ans. Nous commémorerons donc en septembre prochain le bicentenaire de sa mort, occasion pour nous de mettre en avant ce grand artiste qui a écumé les salons du 8ème arrondissement et auquel aucune rue ou autre lieu parisien ne rend hommage. C’est la raison pour laquelle, nous émettons le vœu que la ville de Paris, attribue à la place située le long de l'église Saint-Philippe du Roule (place non baptisée) ou à tout autre lieu du 8ème, le nom de place Théodore Chassériau à l'occasion du bicentenaire de sa naissance. Dans le cadre du budget participatif, l’association des Amis de Chassériau a proposé ce même vœu en février 2019. Cette association est représentée par Arnaud et Jean-Baptiste Nouvion, les descendants de Théodore Chassériau qui font vivre la mémoire de leur aïeul et qui nous ont fait l’honneur d’être présents lors du conseil du 8ème arrondissement. Nous savons madame la maire que vous souhaitez privilégier les noms de femmes pour toute nouvelle appellation de rue pour cause de parité mais nous espérons que vous serez sensible à la qualité du peintre tout comme les élus du 8ème qui ont voté ce vœu et vous sollicitons afin que la place contiguë à l’église saint-Philippe du Roule ou tout autre lieu du 8ème arrondissement soit baptisé du nom de Théodore Chassériau. Je vous remercie.
- “Embellir Paris” : participation sans transparence n’est que ruine de la démocratie
Alors que les Parisiens du 8ème arrondissement et les artistes qui ont participé à l’appel à projets “Embellir Paris” ont subi de nombreuses déconvenues, j’ai questionné Mme Hidalgo en Conseil de Paris sur l’indispensable clarification des critères de présélection des projets déposés. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention Sublimer un peu le quotidien, inviter lʼart dans ces pans de lʼespace public quʼon désigne par le terme de “délaissés urbains”, ceux “qui nous échappent” voilà tout lʼesprit de lʼappel à projets “Embellir Paris” dont la liste des lauréats a été rendue publique le 22 mars. Un tel programme était alléchant et les habitants du 8ème arrondissement étaient particulièrement enthousiastes à lʼidée dʼEmbellir le parterre central de la place de lʼEurope-Simone Veil, dans le quartier Saint-Lazare. Tout sʼannonçait donc pour le mieux. Les 17 projets proposés au vote suscitaient plus ou moins lʼenthousiasme mais chacun pouvait y trouver son bonheur. Quelle ne fut pas la surprise de découvrir au détour dʼun mail adressé pendant le vote aux membres du jury que seuls 8 projets sur les 17 proposés étaient déjà pré-sélectionnés alors même que le vote était toujours en cours. A quoi servait donc ce vote? Dʼautant plus que les projets pré-sélectionnés par la ville nʼétaient pas forcément ceux qui avaient réuni à lʼissue du vote le plus de suffrages. Imaginez la déception des habitants bien sûr mais aussi des artistes qui au vu du nombre de votes sur le site dʼEmbellir Paris étaient convaincus dʼavoir passé le premier cap alors même quʼils étaient déjà éliminés. Il était donné de plus la possibilité aux membres du jury de repêcher des projets. Ce que certains ont fait avant dʼapprendre que ces derniers nʼétaient pas pour des raisons esthétiques ou techniques envisageables. Pourquoi alors avoir proposé des projets qui dès le départ ne rentraient pas dans les critères de faisabilité ? Voilà madame le maire les questions que les habitants et artistes peuvent légitimement se poser. Le manque de clarté dans la règle du jeu ne peut en effet que susciter déception et aigreur. Merci.
- Mouvement des gilets jaunes : mieux accompagner les habitants et les commerçants du 8ème
Après les nouvelles violences extrêmes perpétrées dans le 8ème lors de l’acte XVIII du mouvement des gilets jaunes, j’ai une nouvelle fois interpellé Mme Hidalgo en Conseil de Paris pour connaître les mesures supplémentaires qu’elle compte prendre afin d’améliorer l’accompagnement des commerçants et des habitants de l’arrondissement, notamment pour les pertes d’exploitation des premiers et les signalements des seconds concernant l’espace public. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention. Madame le maire, Depuis des semaines les habitants et commerçants du 8ème arrondissement sont particulièrement éprouvés. L’acte XVIII des gilets jaunes a été d’une très grande violence. Nous avons tous en mémoire, l’incendie de l’agence de la banque Tarneaud, avenue Franklin-Roosevelt, tout près des Champs-Elysées qui a nécessité l’évacuation de dix-sept personnes. Nous avons échappé au pire grâce à l’efficacité de nos pompiers mais jusqu’à quand ? Certains commerçants ont été victimes de vandalisme et de pillages répétés. On pense bien sûr aux très médiatiques grandes enseignes des Champs-Elysées mais l’on oublie souvent d’évoquer tous les commerces situés dans les rues adjacentes et qui font la vie quotidienne des habitants de l’arrondissement. Ces commerçants ont été très fragilisés financièrement et moralement. Certains sont à bout et envisagent d’arrêter leur activité quand ce n’est pas déjà le cas pour cause de faillite. Ils se sentent abandonnés, très seuls face aux démarches à effectuer malgré le travail remarquable effectué par la CCI. Les indemnisations annoncées sont loin d’être à la hauteur des pertes subies depuis 4 mois. En effet, la région et la ville de Paris ont mis en place un fond d’indemnisation pour les commerces ayant subi des dégradations mais qu’en est-il des pertes d’exploitation ? Les étalements de charges proposés, les droits de terrasses offerts pour le mois de décembre … tout cela semble dérisoire au vu des fournisseurs à payer, des charges qui courent alors que les clients ont déserté. Il nous semble essentiel que les commerçants soient au cœur de vos préoccupations aujourd’hui. Ils sont vitaux pour le dynamisme de notre ville et l’emploi et leur accompagnement dans cette période difficile est cruciale. Cet accompagnement, ils en ont aussi besoin, tout comme les habitants, les jours de manifestation de façon très opérationnelle. Plusieurs signalements nous ont été fait de matériel de chantier, barres d’échafaudage, palissades laissés à portée de main du premier venu sur la voirie, véritables armes par destination, dans les jours qui précèdent des samedis à risque. Or, il y a une grande difficulté à trouver le bon interlocuteur pour faire évacuer ces matériels en urgence. Je vous invite ainsi à visionner la vidéo filmée par des riverains du 103 boulevard Haussmann le 16 mars. Malgré leur signalement dès le vendredi puis le samedi matin, le matériel laissé au pied de leur échafaudage a été utilisé pour casser toutes les vitrines des alentours. Il serait donc judicieux de proposer un numéro d’urgence dédié aux signalements en tout genre afin de prévenir ce genre de situation. Merci.
- Tous mobilisés contre le paludisme
Je suis intervenue en Conseil de Paris au nom du Groupe Les Républicains et Indépendants pour nous féliciter que la Ville de Paris réaffirme son soutien et son engagement dans la cause mondiale de la lutte contre le paludisme, notamment en mettant à disposition les salons de l’Hôtel de Ville au profit de l’OMS. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention. Madame le maire, Mes chers collègues, 500 000 à un million de personnes meurent du paludisme chaque année. La moitié de l’humanité vit en zone impaludée. Tous les ans, 200 à 500 millions de personnes sont infectées par le paludisme, maladie grave, potentiellement mortelle. Chaque année, ce fléau tue entre 500 000 et un million de personnes, essentiellement en Afrique et dans le Sud-Est asiatique. Les moustiquaires et les traitements sont fort heureusement toujours efficaces. Cependant plusieurs médicaments anti-paludéens provoquent des effets secondaires, restent inaccessibles aux plus pauvres quand ils ne sont pas faux (25 % de contrefaçon). Certains de ces médicaments ont de plus commencé depuis 2006 à engendrer des résistances du parasite. C’est pourquoi, avec justesse, l’OMS constate que la stratégie actuelle de lutte contre le paludisme a atteint une limite, et ne permet plus de faire reculer ce fléau qui demeure une des maladies les plus meurtrières du monde. Le nombre de malades augmente d’ailleurs pour la première fois depuis 10 ans. Il est donc primordial de rechercher des stratégies complémentaires simples et locales. C’est l’occasion pour moi d’évoquer l’idée très intéressante d’agronomes, d’infectiologues et de pharmacologues d’essayer de traiter le paludisme simple à la façon des tradipraticiens locaux, au moyen d’infusions d’Artemisa annua (contenant de l’artémisinine) et d’Artemisia afra (n’en contenant que très peu), issues de plantes cultivées. Il s’agit là de remèdes ancestraux chinois et africain contre le paludisme. L’Artémisinine, l’un des principes actifs contenus dans l’espèce Artemisia annua, est aujourd’hui à la base des traitements recommandés par l’OMS, et a fait l’objet d’un prix Nobel de médecine en 2015. Les essais cliniques sont très prometteurs. Nous ne pouvons donc que nous féliciter que la ville de Paris réaffirme son soutien et son engagement dans cette cause mondiale et approuvons sans réserve la mise à disposition à titre gracieux des salons de l’Hôtel de ville au profit de l’OMS. Merci.
- Inacceptable
Samedi 16 mars, les habitants et les commerçants du 8ème arrondissement, ainsi que les forces de l’ordre mobilisées pour les protéger, ont une nouvelle fois subi le déferlement des violences perpétrées par des professionnels du chaos contre les biens et les personnes. Ces violences urbaines sont inacceptables. Elles étaient prévues par tous - à commencer par les services de renseignement territoriaux. Mais elles n’ont pas été prévenues. Et le maintien en “libre-service” sur le domaine public de mobiliers urbains ainsi que de matériels de chantier et d’échafaudages pouvant aisément servir d’armes par destination, laissent aux victimes le désagréable sentiment d’être “livrées” à des émeutiers qui semblent parfois agir en toute impunité en dépit de leur volonté manifeste de tuer. Elles continuent de se dérouler en marge de “manifestations” de “gilets jaunes” elles-mêmes illicites. En droit, en l’absence de déclaration, ces “manifestations” sont des attroupements. Cela fait maintenant de nombreux samedis qu’il n’y a plus ni “manifestants”, ni mots d’ordre. Ne subsistent que des barricades et des pillages perpétrés par des casseurs professionnels avec la complicité de pseudo “gilets jaunes” qui leur offrent ainsi un “cheval de Troie”. Pour la France en général et Paris en particulier, le préjudice économique et d’image est incommensurable. Le temps est plus que venu pour les pouvoirs publics concernés d’assumer la mise en oeuvre sur le terrain d’une doctrine de prévention des troubles et de restauration de l’ordre public qui soit enfin véritablement efficace !
- Communiqué de presse du groupe LRI suite aux violences du 16 mars
COMMUNIQUÉ DE PRESSE * Paris, le 17 mars 2019. Dégradations sur les Champs-Elysées: les maires d'arrondissements LRI demandent à être reçus par le Premier Ministre. Hier encore, et pour la 18e fois en 4 mois, Paris a été la victime impuissante d'actes de violences inadmissibles. La mobilisation des policiers, des gendarmes, des pompiers, puis des agents de la Ville, a été une fois de plus, totale. Et pourtant, malgré leur engagement et leur professionnalisme, les semaines se suivent et se ressemblent tristement. Aucune leçon n'est tirée des défaillances récurrentes des opérations de maintien de l'ordre. L'image de Paris est durablement abîmée. Les commerçants parisiens ont déjà payé un lourd tribu : 550 commerces ont été durement touchés depuis le début des manifestations. Sans compter l'augmentation des faillites ces dernières semaines. Leur indemnisation est prioritaire afin qu'ils puissent reprendre leurs activités. Florence Berthout, présidente du Groupe LRI et maire du 5e arrondissement de Paris, Jeanne d'Hautessere (maire du 8e arrondissement), Geoffroy Boulard (maire du 17e arrondissement), Rachida Dati, (maire du 7e arrondissement), Danièle Giazzi(maire du 16e arrondissement), Philippe Goujon (maire du 15e arrondissement) et Jean-François Legaret (maire du 1er arrondissement) demandent à être reçus par le Premier Ministre. Ils sont en première ligne auprès des habitants et des commerçants. Ils doivent être associés aux mesures prises pour éviter un nouveau samedi noir à Paris.
- Améliorer l'accompagnement des commerçants victimes des manifestations liées aux gilets jaunes
D’après les informations que nous avons pu recueillir avec mes collègues élus Eve Desbonnets, Sophie Boyer Chammard et Marc Pacheco, et nonobstant notre précédente intervention à ce sujet au cours de notre Conseil d’arrondissement de janvier, l’exécutif de la Mairie du 8ème n’aurait toujours pas adressé aux commerçants de l’arrondissement la moindre communication pour les conseiller et les accompagner dans la mise en place des actions et l’accomplissement des démarches utiles pour la prévention et la réparation des préjudices subis lors des manifestations hebdomadaires liées aux mouvements des “Gilets Jaunes”. Dans un courrier cosigné, mes collègues et moi avons donc interpellé Mme Jeanne d’Hauteserre pour connaître les mesures qu’elle aurait déjà prises et surtout celles qu’elle compte prendre, et suivant quel calendrier, pour améliorer le conseil et l’accompagnement des commerçants avant, pendant et après les manifestations.
- Vœux des Républicains à Paris
Samedi 26 janvier, j’ai participé aux vœux de la Fédération Les Républicains de Paris dans le 10ème arrondissement avec, notamment, la présidente Agnès Evren et le secrétaire départemental Geoffroy Boulard. En 2019, nous devrons réussir les élections européennes et poser les jalons de la reconquête municipale. Cette reconquête passe notamment par le 10ème arrondissement.
- #StopAntisemitisme
Mardi 19 février, j’ai participé avec de nombreux collègues élus au grand rassemblement place de la République pour dire “ça suffit, stop à l’antisémitisme !”.
- Grand débat national en mairie du 8ème
Vendredi 15 février, la réunion organisée en mairie du 8ème arrondissement dans le cadre du “grand débat national” fut intéressante sur le fond et respectueuse sur la forme, avec beaucoup d’interventions de bons sens et l’envie de faire bouger les choses. Au vol : "tout le monde devrait payer des impôts", "comptabilisons les votes blancs”, etc.
- 29ème salon des artistes du 8ème
29ème salon des artistes du 8ème ce mercredi soir 13 février.
- Assemblée générale de l'AGF8
Samedi 9 février, l’Association générale des familles du 8ème a réuni en toute convivialité nombre de ses 800 familles à l’occasion de son assemblée générale annuelle.
- Vœu relatif à la rénovation des grilles du parc Monceau
Je suis intervenue en séance du Conseil de Paris mercredi 6 février pour défendre un vœu relatif à la rénovation des grilles du parc Monceau. Dans ce vœu, je demande notamment à la Maire de Paris de communiquer aux élus du 8ème le compte rendu de la mission menée par le cabinet Gatier / Pascal en 2011, d'actualiser l'audit des grilles du parc Monceau et d'entamer rapidement leur restauration en s'appuyant sur le mécénat. Je regrette vivement que la majorité municipale ait rejeté ce vœu pourtant adopté à l'unanimité du Conseil du 8ème arrondissement en janvier.