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- [Presse] "Un gymnase accueillant des sans-abris embarrasse des associations sportives" (France 3)
France 3 Paris Ile-de-France rend également compte par écrit de notre mobilisation pour que la Ville de Paris et le Préfet de Paris et de la région Île-de-France mettent - enfin ! - un terme à l'occupation illégale du gymnase Roquépine dans le 8ème arrondissement de Paris, une situation inacceptable pour tous - les personnes mal logées, les associations, les adhérents-usagers et les riverains. 👉 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/paris-gymnase-accueillant-abris-embarrasse-associations-sportives-1685056.html
- Le Conseil de Paris reprend mon vœu pour renforcer et améliorer la lutte contre l'affichage sauvage
J'ai à nouveau défendu en Conseil de Paris un vœu pour renforcer et améliorer la lutte contre l'affichage sauvage qui sévit dans l'espace public et sur les vitrines des commerçants. Mon vœu a finalement été repris dans des termes similaires par la majorité municipale puis adopté à l'unanimité du Conseil de Paris. Madame le Maire, Comme je l’ai déjà évoqué ici même en mars dernier, notre ville et plus particulièrement les quartiers centraux de la capitale, sont depuis des années le terrain de jeu d’agences de street marketing qui profitent de tous les supports possibles, publics ou privés, pour coller les affiches publicitaires de leurs clients. Moins coûteux que des campagnes publicitaires traditionnelles, ce marketing non conventionnel joue, nous vend-on, « sur le côté « sauvage », proche des codes du « street art », pour attirer l'œil ». Ce phénomène s’est beaucoup amplifié ces derniers mois et on ne compte plus les vitrines de commerces en faillite, en travaux, les palissades de chantier, les compteurs électriques et autres qui sont recouverts en toute illégalité de publicité plusieurs fois par semaines. Outre le coût pour les Parisiens que constitue le nettoyage de cet affichage sauvage, il constitue une véritable pollution visuelle et environnementale qui participe au sentiment de saleté et d’abandon de la ville En décembre 2016 vous vous engagiez par un vœu voté à l’unanimité à poursuivre judiciairement les marques et agences qui utilisent ces procédés de communication illégaux et à demander l’application des sanctions prévues par le code de l’environnement. En décembre 2018 vous annonciez relever vos tarifs d'intervention. Vœu pieu à l’évidence si l’on en juge les affiches qui recouvrent par exemple les panneaux en bois du 21 de la place de la Madeleine quasi quotidiennement ou la vitrine de l’agence ADREA rue de la Boétie, 2 exemples parmi tant d’autres. Qu’en est-il donc réellement ? La direction de la propreté aurait réalisé 560 constats de recouvrement pour affichage illicite en 2018 contre 76 en 2017. Un effort a été fait mais cela reste très insuffisant ! Je souhaite donc que vous nous détaillez votre bilan en matière de lutte contre l’affichage sauvage depuis 2016. Et que vous mettiez en place des mesures préventives auprès des entreprises susceptibles de recourir à de telles pratiques (agences de street marketing..) du type charte de bonne conduite et que vous durcissiez davantage encore les sanctions à l’encontre des annonceurs. Je vous remercie !
- [Presse] "A Paris, le gymnase Roquépine est occupé depuis 5 mois" (Le Parisien)
📰 Le Parisien 75 - Paris rend compte de notre mobilisation pour que la Ville de Paris et le Préfet de Paris et de la région Île-de-France mettent - enfin ! - un terme à l'occupation illégale du gymnase Roquépine, une situation inacceptable pour tous - les personnes mal logées, les associations, les adhérents et les riverains. 👉 http://www.leparisien.fr/paris-75/a-paris-le-gymnase-roquepine-est-occupe-depuis-5-mois-12-06-2019-8091615.php
- Mise en place d'un fonds de garantie d'indemnisation pour les commerçants du quartier Notre-Dame
Avec mon collègue élu du 4ème arrondissement Vincent Roger, nous avons proposé, défendu et fait adopter en Conseil de Paris un vœu pour que soit mis en place un fonds de garantie d'indemnisation pour soutenir les commerçants du quartier de Notre-Dame qui ont été très touchés dans leur activité économique depuis l'incendie de la cathédrale.
- Ravivage de la flamme sur la tombe du Soldat inconnu
J'ai participé au ravivage de la flamme sur la tombe du Soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe place de l'Etoile avec des représentants de l'Association Générale des Familles du 8ème (AGF 8) et des vétérans américains.
- [Communiqué] C. LÉCUYER lance une pétition pour mettre un terme à l’occupation du gymnase Roquépine
Paris, le 29 mai 2019 Après avoir reçu des réponses insatisfaisantes de la part des parties prenantes du dossier, la Conseillère de Paris du 8ème arrondissement Catherine LÉCUYER lance une pétition pour que soit mis un terme à l’occupation illégale du gymnase de la Ville de Paris 18 rue Roquépine qui exaspère les habitants et les associations sportives (https://www.catherinelecuyer.fr/petition). Catherine LÉCUYER a été saisie à de nombreuses reprises par des habitants et des associations du 8ème arrondissement qui se plaignent de l’occupation illégale du gymnase Roquépine depuis le 30 janvier 2019 par environ 150 personnes - dont des enfants - soutenues par l’association Droit Au Logement (DAL). Cette nouvelle occupation illégale du gymnase (il l’avait déjà été à l’automne 2017) : - pénalise les habitants et les associations qui sont empêchés d’exercer normalement leurs activités sportives. L’avenir de certaines associations fragilisées est en jeu ; - pose des problèmes de nature sanitaire et sécuritaire pour les familles mal-logées elles-mêmes : équipé de 2 douches et 2 toilettes, le gymnase ne permet pas des conditions de vie décentes et sûres ; - a empêché l’installation des deux bureaux de vote habituels lors des élections européennes du dimanche 26 mai 2019. La Conseillère de Paris du 8ème arrondissement a donc interpellé en avril l’ensemble des parties prenantes du dossier - la Maire du 8ème arrondissement Jeanne d’HAUTESERRE, le Préfet de police Didier LALLEMENT et le Préfet de Paris et d’Ile-de-France Michel CADOT - afin de connaître les mesures que chacun comptait prendre dans son domaine de compétence, et suivant quel calendrier, pour apporter dans les meilleurs délais une solution pérenne à ce problème qui porte gravement préjudice à la vie locale et associative. Dans sa réponse datée du 26 avril 2019, le Préfet de Paris et d’Ile-de-France indique qu’il a “invité Monsieur l’Adjoint à la maire de Paris, chargé du logement, de l’habitat durable et de l’hébergement d’urgence, à mobiliser les contingents de la maire de Paris et des maires d’arrondissement afin d’assurer le traitement diligent des demandes exprimées par le DAL relatives aux ménages occupant le gymnase Roquépine”. Dans son courrier au Préfet daté du 10 mai 2019, l’Adjoint à la Maire de Paris chargé du logement, de l’habitat durable et de l’hébergement d’urgence, M. Ian BROSSAT, reconnaît de son côté que “l’occupation de ce gymnase sur une si longue durée pose de nombreuses difficultés pour la Ville, pour les usagers et les associations sportives qui l’utilisaient” mais il “sollicite donc une nouvelle fois [l’intervention du Préfet de la région d’Ile-de-France et de Paris] pour que des solutions d’hébergement d’urgence soient trouvées pour éviter la mise à la rue de ces 34 ménages et libérer le gymnase au plus vite”. Compte tenu des réponses insatisfaisantes qui ont été faites, Catherine LÉCUYER a donc lancé une pétition pour demander à la Ville de Paris et à la Préfecture de Paris et d’Ile-de-France de se coordonner dans les meilleurs délais afin d’assumer leurs responsabilités pour reloger les familles concernées et mettre un terme à cette nouvelle occupation illégale du gymnase Roquépine. A la date du 29 mai 2019, cette pétition a déjà été signée par près de 300 habitants et responsables associatifs du 8ème arrondissement.
- Fête des voisins à l'Espace Beaujon
Merci à l’Espace Beaujon pour l’organisation très réussie de la Fetedesvoisins. Une formidable occasion de créer du lien, de l'entraide et de l'amitié.
- Pétition pour mettre un terme à l’occupation illégale du gymnase Roquépine
J’ai été saisie à de nombreuses reprises par des habitants et des associations qui se plaignent de l’occupation illégale du gymnase Roquépine, depuis le 30 janvier 2019, par environ 150 personnes - dont des enfants - soutenues par l’association DAL. Cette nouvelle occupation illégale du gymnase (il l’avait déjà été à l’automne 2017) pénalise en effet les habitants et les associations qui sont empêchés d’exercer normalement leurs activités sportives. L’avenir de certaines associations fragilisées est du reste en jeu. Cette nouvelle occupation illégale pose aussi des problèmes de nature sanitaire et sécuritaire : équipé de 2 douches et 2 toilettes, le gymnase ne permet pas des conditions de vie décentes et sûres. J’ai donc interpellé l’ensemble des parties prenantes du dossier - la Maire du 8ème arrondissement Jeanne d’HAUTESERRE, le Préfet de police Didier LALLEMENT et le Préfet de Paris et d’Ile-de-France Michel CADOT - afin de connaître les mesures que chacun compte prendre dans son domaine de compétence, et suivant quel calendrier, pour apporter dans les meilleurs délais une solution pérenne à ce problème qui porte gravement préjudice à la vie locale et associative. Compte tenu des réponses insatisfaisantes qui ont été faites, je vous propose de signer cette pétition pour demander à la Ville de Paris et à la Préfecture de Paris et d'Ile-de-France de se coordonner dans les meilleurs délais pour mettre un terme à cette nouvelle occupation illégale du gymnase Roquépine. > JE SIGNE LA PÉTITION
- Fête des voisins rue de Greffulhe
Moments de convivialité, d'échange et de bonne humeur pour la Fête des voisins organisée par le Carré de la Madeleine rue de Greffulhe. Beaucoup de belles rencontres.
- 11ème Salon des Femmes de Lettres
J'ai participé mercredi 22 mai au 11ème Salon des Femmes de Lettres avec notamment Sophie Boyer-Chammard et Amélie de Bourbon-Parme. Heureuse de retrouver Michele Rossi. Remise du Prix Simone Veil 2019 à Mmes Hirsch et Noiville pour Nina Simone, Love Me or Leave Me et à Dominique de Saint-Pern pour Edmonde.
- Billet d’humeur : Simone méritait mieux !
« Sublimer un peu le quotidien, inviter l’art dans ces pans de l’espace public qu’on désigne par le terme de « délaissés urbains », ceux « qui nous échappent ». C’est par cette novlangue indigeste à laquelle la ville de Paris nous a habitués ces 5 dernières années que les habitants du 8ème arrondissement étaient invités à contribuer au choix d’un projet, éphémère, parmi les 17 proposés par la ville dans le cadre d’ « Embellir Paris » en février dernier. Un jury constitué de personnalités « qualifiées » terminait le travail en sélectionnant le projet final. Un tel programme était alléchant et les habitants du quartier Europe étaient particulièrement enthousiastes à l’idée d’ « Embellir » le parterre central de la place de l’Europe-Simone Veil. Depuis 1826 en effet, cette place octogonale à l’esthétique inachevé, suspendue au-dessus des voies ferrées de la gare saint-Lazare a fait travailler l’imagination de nombreux artistes qui se sont cassés les dents sur les contraintes liées à la structure métallique sur laquelle elle repose. Tout s’annonçait donc pour le mieux. Les 17 projets proposés au vote suscitaient plus ou moins l’enthousiasme mais l’intention était bonne et les habitants plein de bonne volonté. Quelle ne fut pas la surprise pour les membres du jury final d’apprendre au détour d’un mail que 8 projets sur les 17 proposés étaient déjà présélectionnés alors même que le vote des habitants était en cours. A quoi servait donc ce vote ? D’autant plus que les projets pré- sélectionnés par la ville n’étaient pas ceux qui réuniraient à l’issue du vote le plus de suffrages. Imaginez la déception des habitants qui une fois de plus s’étaient laissés à croire à une véritable démocratie participative. Déception d’autant plus grande que le projet retenu avait de quoi surprendre. Baptisé « un collier pour Simone » , non ce n’est pas une blague, il consiste en un cerceau de diodes lumineuses clignotantes de 31,40 mètres de circonférence posé sur le terre-plein dont la dimension artistique laisse rêveur! Un aménageur routier n’aurait pas mieux fait. Tout cela pour la modique somme de 42385 euros financée via une subvention votée au prochain conseil de Paris. Comment nous Parisiens pouvons-nous continuer à nous laisser imposer une telle médiocrité sans réagir? Les réactions des habitants désabusés sont révélateurs de l’abattement qui nous gagne tous après ces années d’enlaidissement systématique de notre ville: « après tout, on a échappé au pire » ai-je entendu à de nombreuses reprises. Il est vrai que le projet qui a manqué de gagner valait son pesant de cacahuètes et que ... oui nous avons échappé à pire ! Mais il est temps de réagir. Il est en effet de notre responsabilité à tous de ne plus subir la politique municipale d’Anne Hidalgo qui prend un malin plaisir à abîmer méthodiquement notre ville. Oui Simone et la place de l’Europe-Simone Veil méritaient mieux, PARIS mérite mieux !
- Affichage publicitaire sauvage : Le Point rend compte de ma mobilisation
L'hebdomadaire Le Point rend compte de ma mobilisation pour que la Mairie de Paris intensifie enfin la lutte contre les professionnels de l'affichage publicitaire sauvage. Les commerçants du 8ème n'ont pas à subir une double peine ! A lire : https://www.lepoint.fr/economie/ces-publicitaires-qui-marchent-dans-les-pas-des-gilets-jaunes-14-04-2019-2307554_28.php.
- Visite du centre de retraitement de déchets Isséane à Issy-les-Moulineaux
Visite passionnante avec des habitants du 8ème arrondissement du centre multi-filière Isséane opéré à Issy-les-Moulineaux par le Sytcom qui comprend un centre de tri de collecte sélective et une unité d’incinération avec valorisation énergétique d’ordures ménagères . Des critères de haute qualité environnementale !
- Renforcer les moyens alloués au désaffichage des commerces dégradés
J’ai interrogé Mme Hidalgo en Conseil de Paris afin de connaître les mesures qu’elle compte prendre, et suivant quel calendrier, pour renforcer les moyens matériels et humains alloués au désaffichage des devantures des commerces dégradés dans le 8ème arrondissement. J’ai rappelé à la Maire de Paris que certains commerçants ont le sentiment de subir une “double peine” : leurs commerces semblent en effet livrés aux “afficheurs sauvages” après avoir été “livrés” aux pilleurs. Retrouvez ci-après le texte de mon intervention. Madame le maire, Depuis près de 4 mois, le 8ème arrondissement est le théâtre de violences intolérables. Les commerçants de l’avenue des Champs-Elysées bien sûr mais aussi de nombreuses rues adjacentes ont été touchées et notre arrondissement tout entier peine à se remettre. Les stigmates des événements de ces dernières semaines sont encore très présents malgré le travail remarquable des services de propreté de la ville et l’énergie déployée par les commerçants pour reprendre leurs activités le plus rapidement possible. Cependant, un phénomène prend particulièrement de l’ampleur et participe à ce sentiment de décrépitude et de désolation que l’on ne peut s’empêcher de ressentir face à ces innombrables façades de commerces vandalisées ces 4 derniers mois. Il s’agit d’un affichage sauvage particulièrement agressif qui vient recouvrir vitrines de magasins en faillite et plaques en contre-plaqué de protection que de nombreux commerçants font le choix de conserver d’une semaine à l’autre pour des raisons financières ou par manque de main-d’œuvre pour les enlever et les remettre. Cet affichage nuit à l’attractivité de ces commerces et les fragilise encore davantage. Ceci est d’autant plus surprenant que ce sont, la plupart du temps, des grandes marques qui profitent de ces panneaux d’affichage gratuits et qu’une agence est principalement aux manettes en toute impunité. Cette agence vous la connaissez bien puisque vous avez eu l’occasion de recourir à ses services pour de nombreuses opérations : budget participatif, Femmes en sports, les Pierrots de la nuit, Nuit blanche, Paris jeunes talents, Roulez jeunesse etc. Il s’agit d’Urban Act, une agence de communication qui se présente comme spécialiste du Street Marketing et du guerilla Marketing. Sur son site internet, Urban Act valorise sans aucun état d’âme son savoir-faire en matière d’affichage sauvage et de détournement de supports urbains. En réalité, il s’agit de s’offrir une campagne gratuite de publicité sur les murs, les devantures de magasins et autres supports publics ou privés en faisant fi de la pollution visuelle, des nuisances occasionnées et surtout en s’affranchissant des lois. En 2015, vous annonciez intensifier la lutte contre de telles pratiques avec des dépôts de plaintes ou signalement au parquet pour toute infraction. 4 ans après, où en est-on ? Le témoignage d’un colleur d’affiches est accablant : très peu de verbalisation de la part de la ville et quand cela est le cas, seulement 68 euros d’amende. Le seul moyen pour un commerçant d’échapper à une façade recouverte de publicités Sessun, Weston, Vogue ou autre et de mentionner l’interdiction d’afficher sous peine d’amende sur sa vitrine. Les événements de ces dernières semaines ont fourni quantité de nouveaux terrains de jeu à Urban Act qui profite de façon indécente des vitrines de commerces en faillite et des palissades de protection contre le vandalisme. Les commerçants ont le sentiment de subir une « double peine » : leurs commerces semblent livrés à l’abandon après avoir été livrés aux pilleurs. Le 8ème arrondissement est particulièrement impacté car il est un arrondissement de choix pour des campagnes de publicité haut de gamme. Je souhaite donc madame le maire savoir quelles mesures vous comptez prendre afin de sanctionner durement de telles pratiques qui pénalisent grandement nos commerçants et l’image de Paris. Pour mémoire dans le cadre de la MIE propreté, présidée par Florence Berthout, nous préconisions de renforcer les moyens juridiques de lutte contre l’affichage sauvage et les graffitis pour mieux sanctionner leurs auteurs. De plus, quels moyens sont mis à disposition des commerçants qui souhaitent faire désafficher leurs vitrines ? Comment envisagez-vous de communiquer sur ce sujet ? En 2015, vous aviez facturé à des annonceurs des frais de nettoyage. Cette initiative mériterait d’être proposée à tous les commerces concernés par ces pratiques. Et pour finir, peut-être serait-il bon de clarifier vos relations avec l’agence Urban Act qui semble bénéficier d’une tolérance inappropriée compte tenu de son mode opératoire. Je vous remercie.