Lundi 26 février, j'étais l'invitée du journaliste Renaud PARQUET dans l'émission "L'invité 20' TV", sur la chaîne de télévision francilienne généraliste 20 Minutes TV Île-de-France, pour un entretien d'une vingtaine de minutes sur l'actualité politique à Paris et dans le 8e arrondissement.
Au cours de cet échange, titré "Catherine Lécuyer : défendre Paris et le 8e coûte que coûte", nous avons notamment évoqué la révision du Plan local d'urbanisme (PLU) de Paris, l'aménagement de la place de la Concorde, les conditions de vie et de travail pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) de Paris, ou encore le triplement des tarifs de stationnement des SUV.
L'échange fut aussi l'occasion de revenir sur les motivations de mon engagement politique en tant qu'élue locale de droite. Être de droite, c'est d'abord pour moi être attachée à la liberté. La liberté d'aller et venir, la liberté du travail, la liberté du commerce, le droit de mener une vie familiale normale, sont des libertés fondamentales et des principes à valeur constitutionnelle. La Mairie de Paris doit mieux garantir l'exercice de ces libertés fondamentales dans la capitale.
Être de droite, c'est aussi pour moi être attachée à la responsabilité, à l'entreprise, à la famille, à l'éducation, au civisme, au patrimoine, à la transmission, à la solidarité. Autant de valeurs fondamentales qui doivent guider la réussite de notre vie individuelle et collective. Je leur attache une importance particulière. C'est encore un certain pragmatisme, par opposition aux idéologies de gauche et au dogmatisme sectaire de la Maire de Paris. L'une des beautés d'un mandat local réside d'ailleurs dans le fait qu'il est souvent possible - et souhaitable - de se retrouver sur certains sujets, indépendamment des orientations politiques.
Renaud PARQUET m'a également interrogée sur les perspectives électorales pour la droite aux prochaines élections municipales à Paris. En 2026, après un quart de siècle de socialisme municipal et deux mandats de Mme HIDALGO, lesquels auront significativement dégradé le cadre et la qualité de vie dans la capitale, les Parisiens devraient avoir envie d'une véritable alternance politique. Si la priorité est de gagner Paris, l'alternance ne sera toutefois possible qu'à la condition que les oppositions réussissent à se rassembler afin de former une large coalition électorale pour l'alternance. La volonté de faire battre dans les urnes Mme HIDALGO ou son successeur devra être suffisamment forte afin que ces formations acceptent les compromis indispensables pour être en capacité de (re)conquérir Paris.
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